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Liga : au Santiago Bernabéu, le FC Barcelone joue plus qu’un Clásico

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Liga : au Santiago Bernabéu, le FC Barcelone joue plus qu’un Clásico

À un pas de l’élimination en Ligue des Champions, le FC Barcelone compte sur le Clásico pour se relancer et ne pas perdre le fil dans la course au titre.

«Il sera utile de voir la capacité de l’équipe à réagir. Nous avons récupéré Koundé. J’espère que ces joueurs qui défendent le maillot de Barcelone ont cet esprit. Nous avons encore le temps de récupérer. C’est vendredi. Hier, je ne serais pas venu ici dans cette humeur». Dans l’entretien accordé à la chaîne de télévision officielle du FCB, le président Joan Laporta a tenu à soutenir son entraîneur et ses joueurs, mais admet un premier échec. Si le Barça suit le rythme de son rival madrilène en championnat, le bilan d’une seule victoire en quatre rencontres en Ligue des Champions fait tâche. En conférence de presse, Xavi Hernandez a d’ailleurs qualifié la prestation contre l’Inter Milan, au Camp Nou (3-3) de «honte».

«Je comprends parfaitement la déception. Je sais où je suis. Nous avons échoué. J’ai de l’empathie et je comprends les fans catalans. Je suis triste aussi, ce qui s’est passé l’autre jour est une honte terrible. Mais nous n’allons pas nous arrêter. Je suis arrivé ici, il y a moins d’un an, pour renverser la situation et je suis optimiste. Nous avons fait de bons recrutements, je pense qu’il est trop tôt pour tirer des conclusions. Il y a encore la Ligue, la Coupe, la Supercoupe, on verra comment se termine la Ligue des Champions… on verra», a-t-il expliqué, ce samedi.

Rien ne va plus avec les « vaches sacrées »

Car, en cas de déroute sur la pelouse de son meilleur ennemi, le Barça perdrait son avance au classement et risquerait de prendre un gros coup au moral, après cette semaine compliquée. Pourtant, le technicien catalan assure que la défaite n’est pas liée à un manque de mental. «Avec une faillite mentale, nous n’aurions pas égalisé deux fois, dans le jeu. L’équipe était confiante jusqu’à la fin et avait confiance en elle. Je vois l’équipe impliquée, avec âme et courage. La victoire n’a pas eu lieu à cause de diverses circonstances, c’est difficile à expliquer. Nous n’avons pas été compétitifs au bon moment. Les sensations en Europe par rapport à la saison dernière sont bien meilleures», a ajouté Xavi.

Pour sa défense, le Barça a tout de même dû faire sans sa nouvelle recrue Jules Koundé, de retour pour ce Clásico, ainsi que Ronald Araujo, qui ne pourra, lui, pas prendre part à l’évènement. Pour la presse catalane, le constat est unanime : les « vaches sacrées » Gerard Piqué, Jordi Alba et Sergio Busquets sont – en partie – responsables et ne font plus l’unanimité. Et ils pourraient en faire les frais lors du Clásico. «Ça pourrait être le cas. Nous verrons ce qui se passe. C’est déjà arrivé cette saison. Je ne regarde même pas ces choses. Tout est centré sur les capitaines, mais nous sommes une équipe. Tous les joueurs sont importants, pas seulement le onze de départ. Le football a changé : il y a cinq changements et tout le monde doit être prêt», a assuré Xavi.

Le Clásico pour relancer la machine

Le tacticien espagnol n’accable personne, du moins publiquement. Pour relever la tête et réussir l’exploit au Bernabéu, le groupe blaugrana compte s’appuyer sur la dernière victoire face au Real Madrid (4-0). «Oui, bien sûr, ce match peut être une référence. Nous étions courageux et avions de la personnalité. Madrid est à l’aise dans un bloc bas et nous devons attaquer mieux que nous l’avons fait contre l’Inter. Nous devons attaquer de manière compacte et être courageux. L’année dernière, nous ne sommes pas arrivés au Bernabeu dans un bon moment. Maintenant, nous sommes meilleurs en Liga et nous devons en profiter». Réponse dimanche (16h15), face au Champion d’Espagne et d’Europe en titre.

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